[ Pandore Amely ]
C A R T E D ' I D E N T I T E
Nom : Amely
Prénom : Pandore
Âge : 18 ans
Sexe : Féminin
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle
Rebelle/Fortuné/ou chasseur : Esclave en fuite?
Vous habitez dans quel genre d'habitation : /
G O Û T & C A R A C T E R E
Goût : Elle aime, étrangement, des choses tout aussi différentes et qui se contredisent. Les couleurs claires et immaculées comme le blanc et les couleurs sombre tel le noir. Les jours de grand soleil, ainsi que les nuits ténébreuses. Au passage, elle a un petit faible pour les fruits bien rouges.
Les choses qu'elle déteste se comptent sur les doigts d'une main, tels que , la violence gratuite, la haine... les choses de ce genre dont elle ne perçoit pas non plus la limite.
Caractère : "Voir la vie du bon côté, quel que soit la situation", voici ça manière de penser. Une optimiste acharnée, c'est bien ce qui la caractérise. "Donner son aide aux autres avant tout", pourrait l'être aussi. Rendre service est ce que l'on pourrait appeler son "moment de bonheur". De nature serviable et obéissante, peut être par habitude ou autre chose qui sait... D'autre part elle a horreur d'être oubliée... Elle préfère cent fois être maltraitée qu'être ignorée. Les personnes ne prenant pas attention à ces actions ou à ses mots lui font faire quelques bonds aux nerfs, mais la motivent autant pour en faire encore plus. Paradoxalement, la jeune fille n'aime pas être remarquée. Un juste milieu difficile à percevoir qu'elle ne comprend pas elle même. Ne pas être ignorée, mais ne pas se retrouver comme centre d'attention non plus.
De nature aimable et souriante, on peut bien se demander ce qui pourrait ébranler sa gaieté. Mais lorsqu'elle se retrouve avec elle même seulement, ou furtivement au cours d'une conversation, on pourrait surprendre, si l'on est assez observateur, une lueur de mélancolie dans son sourire ou son regard.
P H Y S I Q U E
Taille : 1m53
Poids : 40 kg
Couleur des yeux : ambré
Couleur des cheveux : entre le brun et le châtain
Tatouage & Piercing : /
Physique : Particulièrement petite, fine mais avec des formes bien placées. Chacun de ses mouvements est empreint d'une grâce et légèreté pouvant la faire passer pour une danseuse. Elle possède aussi un visage pâle, avec une peau fine qui, malheureusement, favorise les coupures et blessures. Sa physionomie lui donne un aspect de poupée de porcelaine fragile, et, qui plus est, n'est pas si loin de la vérité vu qu'elle serait quasiment incapable de se défendre physiquement si quelqu'un venait à l'agresser. Elle porte en général des bustiers ou corset blanc et noir, avec des jupes longues et amples noires le plus souvent.
L ' H I S T O I R E
L'histoire : Pandore... un nom choisit par sa mère, professeur d'histoire, mère célibataire, dans une petite ville dont la jeune fille ne sait même plus le nom. Pandore ne connu jamais son père...et ça ne l'a jamais affectée... Il y avait aussi son aîné...grand frère, plus âgé de sept ans. Combien de temps elle y vécut, ça, elle ne sait pas nom plus. Mais c'est sans doute entre sa cinquième et sa huitième année que sa mère aménagea avec elle à Félicity. Pourquoi? Là aussi, c'est un mystère. Pandore ne possède aucun souvenir de sa vie avant Félicity, et, comme son grand frère n'était pas resté avec elles à ce moment là, elle ne s'en rappela plus. Elle savait juste qu'elle en avait un, mais c'est tout.
Mais, peut de temps après emménagé dans cette ville, la génitrice se retrouva au service d'un "maître", dans une grande maison. Pandore n'avait jamais comprit comment c'était arrivé... Une histoire de dettes ou quelque chose du genre peut être. En tout cas, la mère de Pan' se retrouva esclave et sa fille, par la même occasion, aussi. De semaines en semaines, de mois en mois, d'années en années, la conditions physique de la mère se détériorait, suite aux mauvais traitements qu'elle subissait mais cachait à sa fille. Mais, toujours, elle afficha un grand sourire rassurant et protégea sa fille des sévices du maître en les subissant elle même. Le maître avait un fils. Il avait environ six ans de plus que Pandore, qui devint son esclave attitrée. Pandore n'avait pas le droit de sortir de la demeure... c'était un ordre direct de son jeune maître. Elle ne comprit pas pourquoi là non plus , mais s'y plia, après tout, elle n'avait pas le choix. La jeune fille se rappelle de ses jours ou, comme d'habitude, elle allait réveiller son maître, lui préparait son petit déjeuner et lui servait, répondait au moindre de ses caprices, l'assistait du mieux possible. Étrangement, et, aussi loin qu'elle se souvienne, Pandore ne vit jamais personne d'autre que son jeune maître, une fois le maître et sa mère le soir. Son jeune maître ne laissait personne d'autre la voir et, lorsqu'elle accomplissait quelque ordre que se soit, c'était en présence de lui et lui seul. Jamais il ne leva la main sur elle, jamais il ne l'a toucha. Mais la jeune fille se rappelle encore de son constant regard sombre sur elle. Il lui apprit même à lire et à écrire, à compter aussi.
Lorsqu'elles ne travaillaient pas,c'était la nuit, dans leur sommeil, dans une petite chambrette misérable aménagée dans un sous sol. Elles restèrent ainsi jusqu'au 16 ans de Pandore. Cela faisait quelques temps déjà que l'état de la mère était critique, et à présent, elle ne pouvait même plus quitter le lit. La maître avait autorisé Pandore à veiller sur elle et , une nuit... La mère, parlant d'une voix faible, informa sa fille qu'elle sentait sa fin prochaine, et que, de ce fait, elle ne pourrait plus la protéger comme elle l'avait fait jusqu'à présent. Elle fit promettre à Pandore de s'en aller dès qu'elle expirerait...
Cette nuit là, la mère rendu l'âme. A ses côtés, Pandore la veillant toujours.
Ce n'est qu'au premières lueurs de l'aube que la jeune fille s'enfuit. a partir de ce moment, elle vécut comme une vagabonde. Deux ans de fuite et de frayeur, bien que, étrangement, elle ne vit jamais aucun chasseur ou autre engagé par son ancien maître pour la ramener. Elle apprit à se débrouiller, et , trouva même sa manière de vivre. Elle utilisait ce qu'elle avait apprit en tant qu'esclave, comme la couture ou la cuisine par exemple, et proposait ses services dans des petits restaurants ou chez des petits couturiers contre un peu d'argent ou un lit et un peu de nourriture. Elle avait trouvé son équilibre de vie. Du bien dans son malheur.