Nom : Jennings

Prénom : Walter

Surnom : Le marionnettiste

Âge : 28 ans

Sexe : Masculin

Orientation Sexuelle : Hétérosexuel

Nationalité : Canadienne

Groupe : Fortuné

Faites vous partie d'un gang : Non

Vous habitez dans quel genre d'habitation : Un penthouse au sommet de la Tour Jennings (le plus haut gratte-ciel construit dans le monde occidental)


Goûts : Aime : l’argent et le pouvoir Déteste : Grosso modo? Tout ce qui n’entre pas dans ses goûts

Caractère : On pourrait s’attendre à ce que le « PDG » soit un humain pour qui la vie est facile et pour qui le pouvoir est garantie de saine santé mentale au vu de l’utilisation qu’il en fait. Il n’en est rien. Mais alors là loin de là. Car si Walter Jennings agit comme une personne calme et posée, entre ses deux oreilles c’est une tout autre logique. Car voyez-vous… Il est très possessif. Dans le genre maladif. Ce pouvoir dont il dispose, ce pouvoir qu’il ne cesse d’obtenir par tous les moyens qu’il peut utiliser, il le garde sans partage et se montre excessivement expéditif quand il doit manœuvrer pour conserver ce qu’il a acquis. Et c’est beaucoup dire sur son schéma de pensée.

Passons ici les détails plus politiques qui viennent pimenter ses réflexions et l’on a une bonne idée de la mécanique interne de cet esprit retors et traître. Malgré cette lacune évidente aux yeux d’un observateur omniscient, il n’en demeure pas moins que Walter est pour ses hommes ce que l’on pourrait pratiquement espérer de mieux. Meneur né, ne reculant devant rien pour défendre ses intérêts, rares sont ceux qui osent contester ouvertement ses actions car il ne laisse rien passer. Le plus petit commentaire peut-être synonyme de renvoi, une simple hésitation un aller simple pour le comité disciplinaire. Et bien sûr, les rumeurs vont bon train quand à son comportement général. Certains disent que c’est depuis qu’il dirige un empire industriel et financier qu’il est aussi impitoyable tandis que d’autres croient dur comme fer que cet homme n’en est pas un et que de la glace coule dans ses veines. Ces derniers par contre ont curieusement connu l’infortune pour le restant de leurs jours…

Notre « PDG » est un mégalomane confirmé et malgré certaines de ses décisions qui semblent étranges, erratiques et contestables… Qui peut dire quelles sont les véritables intentions derrière tous ces actes que ce derniers fait sans se soucier des coûts voire des conséquences? Difficile à dire mais on ne prend jamais cet homme au dépourvu. Certains collaborateurs du PDG Jennings commencent à se poser des questions : œuvre-t-il pour ses intérêts au point de vouloir emporter son empire dans la mort, avec lui, comme le ferait un dictateur classique ou a-t-il autre chose en tête? Car Walter Jennings construit plus qu’il ne détruit et reste dans les bonnes grâces de la population, ce qui est loin d’être à la portée du commun des tyrans : rares sont ceux capables de voir au-delà de leur propre bien être. Walter offre au monde ce que le monde veut : des conditions de travail : saine aux esclaves travaillant pour lui (des travailleurs car ceux qui se démarquent sont promus et échappent un peu plus à leur triste condition) entre autres choses…

Une chose est sûre : si on venait à sonder ses rêves, alors on se rendrait compte qu'il est encore plus terrible endormi qu'éveillé. Pourquoi, comment? Aucun expert ne s’est penché sur ce cas, sur son cas donc en définir les raisons serait pour le moins hasardeux. Cependant, on peut aisément deviner que cet homme a des visées plus grande que cette simple ville et peut-être que les raisons se trouvent justement dans ce petit « endroit » à lui qui ne vient qu’avec le sommeil. Certaines personnes ont le besoin irrésistible de laisser des traces physiques de leurs états d’âmes, par le biais d’un journal intime. Walter Jennings lui garde tout dans sa tête, transformant cette dernière en une ignoble boîte de Pandore qu’il serait plus que dangereux d’ouvrir. Quand on connaît les erreurs qu’il peut ordonner ou concevoir… Il y a fort à parier que ce qui sert de réceptacle et d’atelier de conception de ces idées n’en sera que plus terrible et plus vil encore…



Taille : 1 mètre 90 centimètres

Poids : 90 kilogrammes

Couleur des yeux : Gris

Couleur des cheveux : Bruns

Tatouage & Piercing : Aucun

Physique : Pour un chef d’entreprise de seulement 28 ans, il s’avère que le « PDG » Jennings a toujours été vieux avant l’âge sur un plan plus psychologique que physique et certains verront dans ses yeux gris celui d’un être charismatique et calculateur plutôt que du fou psychopathe qu’il est en réalité. C’est un grand homme dans tous les sens du terme (1 mètre 90 centimètres), taillé par des années d’entraînement quotidien qui aurait davantage eu sa place chez les riches playboys que chez les politiciens. Les cheveux bruns et relativement courts toujours impeccablement peignés, on pourrait s’attendre à ce qu’il ait hérité ce trait d’un service militaire quelconque mais il n’en est rien. « Il se conserve bien, le «PDG» », pour citer ses propres paroles. Et gare à celui qui dira le contraire car Walter Jennings n’est pas homme à plaisanter sur son âge ou sur une éventuelle faiblesse chez lui. « Je ne peux me le permettre, la nation a encore besoin de moi. » a-t-il un jour affirmé en entrevue pour la chaîne de communication d’état. La vie toujours plus demande de businessman en a terrassé plus d’un... Mais lui y survit encore. Si certains de ses contemporains ont été victimes de crises cardiaques bien qu’ils soient encore dans la vingtaine, ce n’est pas son cas…

Son style vestimentaire est presque exclusivement formel et le mot détente semble venir uniquement dans sa vie privée ou en de rares occasions (toujours rapportées avec joie et bienveillance par les journalistes à potins) et l’humour n’est pas chose qu’il apprécie tout particulièrement. Il sait reconnaître quand les gens ne sont pas sérieux mais il risque de s’en formaliser, habitué à gérer des situations où l’hésitation est synonyme de pertes pour des dizaines voire centaines de personnes. Que l’on aille pas se leurrer : il est parfaitement capable de parler d’autres choses que son travail mais il n’est pas du genre à rechercher la compagnie des autres (en dehors de ceux qu’il appelle ses « privilégiés »). De façon générale, ceux qui sont au sommet cherchent la compagnie des autres pour se sentir moins seul. Un de ses homologues, du temps où il était simple chef d’entreprise et industriel fortuné, disait un jour que Jennings était un vieux loup solitaire, avec son regard perçant, sa posture toujours tendue comme prêt à bondir sur un ennemi invisible…

Un de ceux qui l’a suivit dans sa carrière et dans ses nombreux actes jugés parfois risqués voire suicidaires l’a plutôt défini comme un cafard humain : « Il est impossible à tuer, ne tombe jamais malade même quand le personnel de la tour dans la majorité se vomissait les trippes et j’ai même entendu dire qu’il avait bravé le danger face à des substances toxiques pour sauver des scientifiques de notre laboratoire de recherche militaire! » Rapportait l’homme lors d’une entrevue toujours effectuée par la chaîne de communication d’état. Cette révélation a fait froncer bien des sourcils et on suspecta le «PDG» Jennings d’être plus qu’un simple être humain… Chose qu’il n’a jamais ni infirmé ni confirmé. Sur ce point, le mystère reste entier…

Le surnom le plus utilisé quand on parle de Walter Jennings est « le caméléon ». Il sait se fondre dans n’importe quel rôle que sa position particulière exige (être un dictateur demande d’être plus que simplement polyvalent), trouver des solutions avec la même aisance que l’animal ne change de couleur. C’est ce qui en fait un personnage à ne pas sous-estimer et ceux assez inconscients pour l’avoir fait on eu la très désagréable surprise de constater que si Walter Jennings jouit d’une couverture médiatique qui aime espionner ses faits et gestes, l’information, la vraie, ne vient pas de la télévision ou des journaux…



L'histoire : Quand vous êtes le descendant d’une longue lignée de personnes froides, impitoyables et calculatrices… Vous tombez bien vite dans le moule. On ne peut échapper à cet état de fait : un enfant est si malléable… Bien vite, Walter Jennings allait apprendre que la meilleure tactique était la manipulation et que son avenir serait de poursuivre l’objectif de ses ancêtres : entendre l’influence des Jennings partout où la main de l’homme mettrait le pied… Rechigna-t-il à suivre ce pour quoi on le destinait? Aucunement. Pourquoi l’aurait-il fait? Il était à peine entré dans l’enfance qu’on lui faisait miroiter des possibilités sans limites. Commença alors un compte à rebours qui part de sa jeune enfance jusqu’à son coup d’éclat, la création d’un empire financier et industriel…

Son enfance ne nous apprends rien d’intéressant car tous les actes qu’il perpétra, de l’extorsion à l’assassinat (vous avez bien lu…), se fit dans l’ombre sous le regard fier de ses parents qui voyaient en lui un vrai Jennings : manipulateur, calculateur, froid, retors et ce n’était que la pointe du iceberg. Et chez les Jennings, on avait la fâcheuse tendance à ne pas se soucier de ce que les autres, bien pensant certes et peut-être mieux pensant, désiraient : en hommes et femmes d’affaires convaincus et dirigeant d’une compagnie spécialisée dans la technologie de pointe (et Walter ajouterait bien vite la recherche médicale et pharmaceutique à l’ensemble…), la compassion était tout sauf une priorité ou une valeur familiale fondamentale. Des années plus tard, les fruits de ses efforts seraient pleinement visibles lors du coup d’éclat qu’il préparait… Mais ceci est une autre histoire dont nous traiterons plus tard.

Quoi qu’il en fut à l’époque, Walter fut un stratège suffisamment fin pour gagner la confiance de celle qui deviendrait sa plus grande rivale puis sa plus grande victime, Catherine Vandenberg, et quand cette dernière se présenta devant la chambre du commerce de l’endroit où Walter commença à étendre son influence, Walter Jennings était son plus grand supporter, contre l’avis de ses parents qui ne voyaient pas son plan d’un bon œil. Walter n’en fit pas un drame : il les assassina de sang froid, se débarrassant d’une distraction qui lui aurait sans doute nuit dans ses plans. Devenant son bras droit, promettant de lui céder le contrôle des industries Jennings pour ajouter ces atouts à la compagnie en recherche médicale et pharmaceutique de sa rivale, faisant taire ou disparaître tous ceux qui s’opposaient à sa nouvelle position de pouvoir, il avait entre ses mains deux fois plus de cartes que Catherine et l’heure d’accomplir la dernière phase d’un plan pour se débarrasser de cette personne qu’il avait en grand mépris était plus près que prévue… Et elle prendrait tout le monde par surprise. Manœuvrant de façon à conserver son poste sans négliger pour autant l’affaiblissement des bases du conseil d’administration de sa rivale, Walter Jennings fit usage de la fortune colossale de sa famille et des pantins qu’il dirigeait en secret pour mettre derrière lui les ressources en tout genre qui lui permettrait de triompher. Il créa des crises et pénuries artificielles, des épidémies contrôlées voire quelques émeutes qui firent monter sa cote de popularité au sein de la chambre du commerce, au point où ses suggestions passaient pratiquement sans opposition au conseil. C’est d’ailleurs sous son initiative qu’il proposa, après un an de montée croissante en terme de popularité auprès du conseil d’administration un changement de la tête dirigeante pour donner un sang neuf à la compagnie de la demoiselle Vandenberg. La proposition en surprit plus d’un mais on finit par se ranger de son avis : Catherine s’était avérée trop faible, trop peu fiable, dépassée par des événements que son bras droit avait su contrôler de main de maitre. Ce fut un franc succès et désormais débarrassée des derniers loyalistes de sa rivale et de sa rivale elle-même (qui se suicida, incapable de supporter la perte de son poste, de sa compagnie et de ses rêves), Walter ajoutait aux avoirs de ses parents la compagnie de Catherine. Commença alors le déploiement tentaculaire de l’emprise Jennings sur le marché mondial… Et bientôt, Walter eut des avoirs dans tous les domaines et pratiquement partout sur le globe : textile, nourritures, armement, médicaments, informatique, électronique, finances, immobilier… Son empire couvrait une vaste gamme de domaine et de produits et le prochain pas serait de contrôler une entité politique… Et pour ce faire il décida de conduire sa petite expérience là où il ne serait pas dérangé : À Félicity.

Décidant d’en faire le centre de son empire financier et industriel, il y fit construire la tour Jennings et se démarqua bien vite comme un visionnaire et un homme influent, avec des idées plein la tête pour mettre la rébellion dans la poche arrière droite de son pantalon préféré. Se présentant comme un homme plein de bonne volonté, il décida de faire d’une partie de sa main d’œuvre locale des esclaves… Qu’il renomma « travailleurs », instaurant un système basé sur l’effort et le mérite, autorisant les promotions et offrant un cadre de travail plus que décent à ceux qui sans le savoir n’étaient que des pions et des cobayes pour une expérience plus vaste encore. Regardé de travers par ses contemporains mais respecté pour son efficacité, Walter devint bien vite un des si ce n’était le plus controversé des personnages de Félicity. Ne cachant pas son opinion sur la gestion de la ville, il laissa attendre que lors des prochaines élections il serait le premier candidat contre le maire… Un homme qu’il ne se gêna jamais pour critiquer et envers qui il n’avait qu’un mépris glacé. Pour Walter, le potentiel des esclaves de Félicity était gâché… Et ce n’était pas un conservateur à l’esprit obtus comme l’actuel maire qui rectifierait le tir. Il fallait du sang neuf, un esprit plus calculateur, qui verrait les profits sur les trois termes (courts moyens et long) et qui saurait les maximiser… Justement, c’était là une des grandes spécialités de Walter. Dans sa tour colossale, il planifie son coup… Et s’il ne peut avoir le poste du maire par la voie « légale »… La force serait une savoureuse alternative. Un bon vieux coup d’état était toujours… Distrayant…

À l’heure actuelle, Walter Jennings semble être excessivement bien installé pour mener à bien ses projets. Cependant, quand on connaît la nature autodestructrice du personnage, il y a fort à parier que ces pronostics peuvent soudainement devenir mensongers. Si à date l’hostilité à peine déguisée entre Walter et l’administration du maire n’a dégénéré en rien de plus que des mots, rien ne garantit que ce ne soit pas parti pou quelque chose de plus physique et plus violent. Au sein même de son empire financer et industriel, on parle d’un malaise et de possibles problèmes internes… Ce qui est peu probable. Paranoïaque comme il est, Walter Jennings fait éliminer tous les problèmes potentiels qu’il détecte avant qu’ils ne deviennent sérieux. Régnant sur une utopie empoisonnée et imposant sa volonté à ceux qui servent et travaillent sous ses ordres, devenus dans sa grande majorité de simples pantins entre ses mains, la place controversée sur l’échiquier de Félicity de Walter Jennings, ses manipulations pour être exactes, se font davantage avec un gant de velours qu’un gant de fer… Mais les apparences sont trompeuses, très trompeuses surtout avec un tel personnage : c’est un Jennings, après tout… Et s’il y a bien une chose dans laquelle cette famille s’est spécialisée… C’est bien dans la machination…



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Playboy, faut savoir lire entre les lignes. Un type pas trop moche avec du fric et une grosse compagnie, c'est plus dans ces lignes là! Merci pour l'accueil et je serai heureux de rper avec toi dans un futur proche!