C A R T E D ' I D E N T I T E
Nom :
Elzévir (faux)
Prénom :
Caëlia (faux)
Surnom :
Michiyo Lino (inconnu)
Âge :
26 ansSexe :
FemmeOrientation Sexuelle :
HétérosexuelleNationalité :
AsiatiqueGroupe :
RebelleFaites vous partie d'un gang ? La meute (S’ils veulent bien de moi ^^)
Vous habitez dans quel genre d'habitation :
N’est pas encore arrivée en ville mais très certainement un endroit passant inaperçu.G O Û T & C A R A C T E R E
Goûts : Aujourd’hui, elle n’a goût qu’à une seule chose, la vengeance.
Caractère :
• Caëlia est d’un caractère très calme.
• Elle parle peu, habituée à recevoir des ordres depuis sa plus tendre enfance, elle respecte la hiérarchie sans broncher.
• Elle est plutôt secrète, ne cherche pas à se mettre en avant bien au contraire.
• Elle ne vit que pour son art.
• Caëlia n’est pas ce que l’on peut appeler un assassin mais plutôt un éclaireur, un espion. Toutefois, elle est capable de tuer sur ordre mais aussi de son propre chef dans un cas bien particulier. Quiconque tentera de mettre la main sur son médaillon, le paiera de sa vie.
• Elle n’a confiance en personne lorsqu’elle arrive ici.
P H Y S I Q U E
Physique :
Caëlia mesure 1.70 m pour 56 kg, de longues années d’entraînements intensifs ont développé une musculature fine et nerveuse. Ses cheveux sont d’un noir de jais, longs et ondulés. Ses traits fins et délicats sont aussi doux qu’elle peut se montrer dure et inflexible en mission.
Lors de l’une d’elle, elle a reçu une substance inconnue dans les yeux et ceux-ci sont devenus phosphorescents la nuit et redeviennent d’un noir très profond le reste du temps mais très sensibles au soleil. Depuis ce jour, elle possède une parfaite vision nocturne mais est aveugle en plein jour, c’est pourquoi tous ses entraînements se font dans des endroits obscurs. Si elle doit sortir en journée, elle se bande les yeux et se déplace à l’aide de son Jô. Mais ne vous y fiez pas, ses autres sens se sont développés et elle n’oublie jamais une voix, un parfum, ou même un visage qu’elle aurait touché en serait-ce qu’une fois. Sans son bandeau, elle est vulnérable car la douleur infligée par les rayons du soleil lui est insupportable et la paralyse.
Son dos est recouvert de tatouages racontant son histoire à qui saurait les déchiffrer et ses différents succès ou défaites. S’il lui arrive d’exposer ses bras, son dos et son visage ne le sont jamais.
Elle porte un médaillon autour du cou. Du plus simple aspect, il recèle le secret de son école, c’est tout ce qui lui reste.
Vestimentaire :Mission :
• Cagoule noire
• Sur-cagoule noire
• veste kimono noire
• Pantalon hakama noir
• paire de manchons, protèges avant-bras noirs
• paire de guêtres, jambières noires
• paire de Jikatabi noir.
Vie de tous les jours : Elle ne porte pas de vêtements particuliers, elle aura plutôt tendance à s’adapter aux us et coutumes pour se mêler à la foule. Jamais sans son bandeau et son Jô. Elle cache toujours le bas de son visage, laissant croire que d’hideuses cicatrices ou malformations en seraient les raisons.
Equipement :• Jitte (ou Jutte) : sorte de dague non tranchante et non perforante munie d'une garde courbée vers l'avant (à la différence du saï, il n'y a qu'une branche à la garde), servant à bloquer les sabres.
• Kaginawa : grappin
• Metsubushi : fumée, en général produite par un mélange de poudre placé dans un œuf évidé, et servant à aveugler l'adversaire. (Leur nombre varie selon la mission qu’on lui confie)
• Ashiko : griffes de pieds, situées sous la semelle, servant à l'escalade, à marcher sur un terrain glissant ou bien comme arme.
• Tegaki ou shuko : sorte de griffes portées sur la paume (gant), servant à frapper en combat à mains nues ou bien pour bloquer les sabres.
• Shaken : étoiles métalliques tranchantes pouvant avoir plusieurs formes différentes (trois ou quatre branches, carrées, rondes...). Arme d’attaque non directe et pas mortelle. Les dégâts engendrés n'étant que de l'ordre d'une coupure ou pouvant être complètement stoppés par l'armure d'un bushi si les yeux ou les points vitaux visibles n'étaient pas touchés.
• Jō : bâton de quatre pieds et d'environ un pouce et demi de diamètre.
L ' H I S T O I R E
L'histoire :
J’avais 7 ans lorsque les portes du Dojo s’ouvrirent pour la première fois devant moi. Niché dans les contre le flanc d’une montagne enneigée, le chemin qui y menait était jalousement gardé. Les vents furieux, les tempêtes de neige, les pics glissants le masquaient à la vue de tous et le rendaient en apparence inaccessible. Pourtant une fois sur place, tout arrivant était surpris de la clémence du temps. Le Dojo profitait d’une bizarrerie climatique, le protégeant de la dureté de l’environnement. Par temps relativement clair, on devinait les lumières de la ville.
Tous les aspirants avaient les yeux bandés et perdu leur sens de l’orientation après avoir absorbé un liquide âcre. Nous étions pieds nus et très peu vêtus. Sans le savoir, nous passions un premier test et certains furent reconduits dans leur famille, le soir même. Le blizzard nous étreignait d’un bras hiémal, la neige mordait nos orteils mais malgré tout cela, nous avancions sans nous plaindre. Je faisais partie des « élus » et pour moi qui n’avais plus de famille, c’était non seulement un honneur mais aussi mon unique planche de salut. Ce que je considérai encore comme un fardeau allait devenir mon meilleur atout car contrairement aux autres, je n’avais rien à protéger, si ce n’est moi-même.
Les portes se refermèrent sur quinze enfants transis, presque morts de froid et cinq adultes.
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Je dis adieu aux pics neigeux, plus rien ne me retenait ici maintenant. Je disparus dans le blizzard sans un regard en arrière et me déplaçai sans peine. Je connaissais chaque roche, chaque piège même à travers ce mur blanc qui semblait prendre vie. Bientôt je ne fus plus visible, à l’abri des roches, j’arpentai les galeries sans ralentir mon allure. Pour la première fois de ma vie, je ressentais la haine et un sourd désir de vengeance me brûlait les entrailles. D’après les rumeurs, il existait une caste qui me donnerait la possibilité de venger les miens. Des rumeurs étaient parvenus jusqu’aux confins du monde, des rebelles s’organisaient, mon seul objectif était maintenant de les rejoindre et de me faire accepter. Je prenais donc la direction de Felicity. Avec un tel rassemblement, j’étais sûre de trouver des informations concernant La Meute. Je voyageai léger, seulement de nuit pour pouvoir me fondre. N’ayant encore jamais mis les pieds dans la ville, je ne savais combien de temps il me faudrait pour l’atteindre ni pour trouver ce que je cherchais mais mon instinct me guidait. Cela m’importait peu à vrai dire car j’avais maintenant toute ma vie devant moi pour mettre en pratique mon enseignement et peaufiner ma vengeance.
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J’étais solidement attachée à l’arbre et je pouvais enfin m’accorder un peu de repos. La nuit s’échappait pour céder la place au jour et je fis glisser mon bandeau sur les yeux. Rares étaient ceux qui pensaient à lever la tête et bien à l’abri derrière le feuillage dense de cet arbre certainement plus que centenaire, je m’endormis rapidement. Des flashs, je gémis et bougeai quelque peu.
*Rêve de Caëlia.*
Le retour de mission fut rapide, j’avais hâte de faire mon rapport au Senseï. Cette première mission en solitaire était un succès total. Me coulant telle une ombre dans cette nuit opaque, je ralentis ma course. Tout est silencieux, bien trop silencieux à l’approche du Dojo. Et cette odeur dans l’air, inhabituelle et inconnue. Mon cœur se serre si brutalement que cela m’arrache un cri. Mauvais pressentiment, je me rue vers le bâtiment principal. Les lumières sont toutes éteintes, pourquoi ? Mes yeux fouillent la pénombre et je passe la porte, entrouverte. Là quelque chose de plus clair, en plein milieu de la salle. Silencieusement je m’approche, le cœur frénétique. Mes jambes se dérobent, je tombe à genou. L’Ancien est au sol, exsangue. Pas de respiration ni de battements cardiaques. Il est froid, bien trop froid. Ma main tremblante ferme ses paupières. Que c’est-il passé ? Je bondis sur mes pieds, un bruit, comme un frôlement. Flash, je suis dans la cour centrale, un vrai charnier, tous ces corps sans vie dont le sang abreuve ce sol sacré. Flash, je cours dans les couloirs et ouvre chaque porte, partout le même constat macabre. Flash, je hurle ma haine, ma tristesse, mon dégoût. Flash, toutes ces tombes, toi aussi Senseï. Plus jamais je ne pourrai me réfugier dans tes bras. Flash, le serment par le sang, la promesse d’une vengeance. L’extermination de ces hommes qui ont osés massacrer les miens et emmener les femmes. Flash, le village, les pleurs, les cris, la procession vers le Dojo. Flash, le feu immense qui éclaire toute la montagne. Un vieil homme me prend la main.
« Venge-nous, Lino. »
Flash, la tombe de mon amour, je pleure à genoux. Reviendrai-je un jour ? Je ne sais si j’en aurai la force.
*Fin du rêve.*
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E N I R L
Ton prénom ou surnom / pseudo : Lino
Ton âge : 29 ans
Où as-tu trouvé le forum : top site
Comment tu trouve le forum ? pas encore fait tout le tour ^^
Vous avez un autre compte? Non
As-tu lu le règlement ? oui
Oui ? Alors dis-nous quel est le code ? Laukar
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Sujet: Une Kunoichi de l'Ombre 
Mar 4 Jan - 23:25