Une nuit bien différente des autres

Il était peut-être 22 ou 23 heures. Tess n'avait aucune notion du temps ou plutot, elle ne connaissait pas l'heure. Elle n'avait ni montre ni horloge pour savoir l'heure qu'il était à ce moment-même. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle fesait sa ronde pour voir si quelqu'un avait des problèmes. Elle le savait tout simplement parce qu'un de ses camarades l'avait prévenue que c'était son tour. Elle ganbadait dans les rues en guettant le moindre bruit, le moindre cris qui pourrait l'amener à devoir défendre un de ses amis ou un inconnu. Il lui prennait aussi de monter sur les immeubles et de sauter d'un a un pour éviter de se faire remarquer. Elle s'arrêta et regarda aux alentours. Ce soir semblait sans problème. Mais elle savait que les chasseurs aimaient venir la nuit. Ils avaient moins de problème avec les clans à ces moments-là. Elle alla sur l'immeuble le plus haut et s'assit 2 minutes pour penser un temps soit peu à sa journée. Il n'y avait rien eu aujourd'hui. Du moins, elle avait toujours un mauvais présentiment. Elle souffla et repensa à l'heure qui venait de se passer. Elle pensa au moment ou elle se trouvait dans son petit appartement tout miteux. Elle était debout, face à la fenêtre attendant le signal de son coéquipier pour faire sa ronde. Quand il arriva et lui fit signe que c'était son tour, elle prit un jean's un temps soit peu déchirer, un débardeur noir et une veste en cuir. Elle s'arma d'une chaine au niveau de son pantalon et d'une arme s'il venait à y avoir des problèmes. Elle se releva du bord de l'immeuble en posant la main sur son arme. Elle n'aimait pas s'en servir. C'était trop facile et moins amusant face aux ennemis. Elle prit son paquet de cigarette de la poche de son manteau et en tira une cigarette avant de la mettre en bouche. Elle rangea le paquet et prit son briquet qui lui servit a allumer sa cigarette avant de le ranger. Elle se mit à marcher pour rejoindre la porte de l'immeuble qu'elle ouvra sans trop de difficulté avant de dévaler les escaliers deux par deux. Arrivée dehors, Tess reprit sa ronde. Rien ne lui semblait très préoccupant aujourd'hui. Elle tire une nouvelle bouffée sur sa cigarette avant de la recracher dans un soupire. Elle s'ennuyait atrocement. Les rondes étaient toujours un moment pénible pour elle. Elle se sentait vraiment seule et elle aimait vraiment pas ça. Et s'ill venait à y avoir des problèmes, elle devrait se défendre seule. Pas toujours amusant quand on est une fille face à des molosses qui font souvent le double de notre poid. Elle tira à nouveau sur sa cigarette mais ne la reprit pas en main. Elle laissait ses mains libre et profita de cet instant pour s'attacher ses longs cheveux en une couette. Elle rerit sa cigarette en main et avanca dans les rues et ruelles sans prêter grande attention à son itinéraire. Le chemin lui était tellement connu à force qu'elle ne regardait même plus ou elle marchait car à chaque fois, elle prenait le bon chemin sans s'en rendre compte. Elle soupira une nouvelle fois et pris une bouffée de sa cigarette.

C'est tellement ennuyant de faire des rondes.

Ce fut les seuls mots qu'elle sortit depuis le début de sa ronde, peut-être même les derniers. Mais un bruit l'interpella. Il venait de derrière. Tess se retourna et vit un homme courrir en sa direction accompagné de chasseur qui devait surement être à ses trousses. Elle ouvrit les yeux, il n'y avait pas qu'un chasseur mais ils étaient plusieurs et Tess ne savait pas combien car certains étaient cachés derrière les autres. Elle ne savait pas du tout ce qu'elle allait faire face à eux. Ils étaient beaucoup trop pour elle mais bon, ne soyons pas pessimiste comme on dit. Elle tira une dernière bouffée sur sa cigarette avant de l'écraser. Un sourire se dessina sur ses lèvres à cet instant précis. Il y aurait un peu d'action pour ce soir. Elle resta debout en attendant l'homme qui essayait d'échapper aux chasseurs. Elle souriait et restait zen devant la scène. L'homme approcha à grand pas d'elle et s'arrêta pensant qu'elle était surement l'une des leurs. Il la regarda de bas en haut et compris qu'il n'en était rien et continua de courrir en passant à côté d'elle. Elle ne bougea pas mais quand l'un des chasseurs arriva non loin d'elle, elle ne pu se retenir et son poing partit vers le chasseur propulsé 2 mètres plus loin. Tess sourit, elle avait beau être une femme, elle avait quand même de la force et ce n'est pas un chasseur de cette envergure qui la terrasserait. Elle regardait ceux qui restaient. Elle se disait que ce serait violent pour elle, elle allait s'en prendre plein la poire sans avoir compris.

Messages : 52 Date d'inscription : 10/05/2010

Il était rare que Liam sortait la nuit quand il chassait, préférant garder ses nuits pour dresser ses esclaves rebelles ou jouer avec les plus agiles. Une douzaine de ses hommes lui servaient d'éclaireurs, à débusquer les proies pour les rabattre sur lui et les cinq de ses chasseurs qui s'amusaient autant que lui à leur chasse. Ils venaient de tuer une dizaine de familles dans un bâtiment résidentiel lorsqu'il entend un homme se sauver par l'escalier d'urgence. Quand les nobles braconniers arrivent sur la piste de l'homme, ce dernier fait tomber le pauvre escalier frêle, leur coupant ce passage.

Il n'en fallait pas plus pour s'assurer d'avoir cette vingtaine de psychopathes à sa suite. Liam s'assurait de rester dans le milieu d'eux. Alors que ses éclaireurs couraient derrière l'homme, les vrais chasseurs étaient sur les toits de bâtiments. La lune les éclairait à peine, se reflétant de temps en temps sur leurs armes ou leur écusson, tel la bague du Taelvin. Comme tous les autres, Liam portait une protection sous ses vêtements, mais son arme électrique n'était pas le seul qu'il avait sur lui. Sa précieuse lance à chaine patientait sur son dos.

Ainsi, en pleine course sur le bois d'une vieille boutique qu'on avait dû remettre à neuf avec le peu de moyen que les habitants de la basse ville possédaient, il remarquait de loin un évènement étrange. Un de ses éclaireur dormait au pied d'un mur. Donnant un coup d'oeil à trois des cinq chasseurs qui étaient avec lui, il murmure avec un sourire.

"Continuez, allez me le chercher..."

Les deux autres chasseurs sortent leurs armes électriques et l'un d'eux continuait de courir pour aller discrètement de l'autre côté de la rue. Le second entrait dans la boutique et pris de force le lieu. Aucun bruit ne pouvait signaler leur présence, surtout qu'en contre bas, six des douze éclaireurs s'étaient arrêtés pour attaquer la jeune femme. Liam se postait dos à une cheminée qui avait à la limite la carrure du grand homme. Il observait les mouvements de la jeune femme qui combattait ses éclaireurs. Dès qu'il voit un premier signe de fatigue provenir de la jeune fille, il sort de son poste d'observation et appuie sur l'écouteur à son oreille pour donner le signal à ses éclaireurs de cesser le combat. Ses hommes au sol allaient faire un cercle autour de la femme et attendre l'arrivée du directeur qui n'est pas long à apparaitre. Il sortait d'une ruelle, marchant tranquillement vers elle, un sourire royal sur ses lèvres brodées d'avarie.

Il dépassait ses hommes d'une bonne tête de différence. La main sur sa ceinture Liam s'approchait avec le regard fier tel le prédateur et narcissique comme le chat devant sa souris. Ses hommes avaient sorti leur arme et à la moindre réaction suspect de la jeune femme, il était évident qu'elle se retrouverait être la cible prédéfinie d'une douzaine de tire.

"Bonsoir ma belle. Je te laisse une chance, à genou devant moi et je ferais de toi une pute de luxe... Ou si tu veux être héroïque, viens me vaincre?"

D'une voix forte et profonde, le directeur entre dans le cercle. Ses gardes dans le haut des toits s'assuraient qu'ils ne seraient pas dérangés ou pris en embuscade pendant que d'autres jouaient plus bas. La voix moqueuse du rouquin était évidemment sarcastique. Il ne croyait nullement qu'on pouvait le battre aussi facilement. De par son expérience et qu'il ne la laisserait pas gagner.

Il suffisait d'un peu d'intelligence pour comprendre que le grand homme ne laisserait pas l'ombre d'un espoir à ses victimes. D'un mouvement fluide, faisant plus du double du poids de la jeune femme, il sort sa lance de son dos. Sans se tenir de manière offensive ou défensive, il plante la lame dans le sol, créant un tremblement et un nouveau trou dans le béton craquelé de la ville basse. Il accotait ,ensuite, son avant-bras sur son arme, l'équipement fait sur mesure pour lui mesurait un mètre 80 centimètres et devait aussi être supérieur en poids que la petite rebelle.

Tess n'avait pas plus réfléchis. Soit elle foncait tête baissée et s'en prenait plein la poire avec une minim chance de s'en sortir, soit elle se laissait faire. En réalité, aucune des deux ne lui était profitable. Avant de prendre conscience qu'on était prêt à l'attaquer, elle avait aperçu des hommes sur les toits. Bon Dieu, combien était-il? Elle n'eu pas le temps de les compter que ses ennemis arrivèrent à sa hauteur, le regard déterminé. Sans vraiment prendre compte de ses actes, Tess lanca à grande vitesse son poing sur l'un des hommes. Malheureusement pour elle, un autre l'avait rattrappé au vol avant de lui assèner un coup dans le ventre qui la projeta en arrière. Son corps était penché par la douleur mais elle n'en fit rien. Elle se releva, un regard déterminé dans ses prunelles. On pouvait reconnaître l'attitude d'un membre de la Meute. Jamais de crainte face à un ennemi, toujours une détermination même s'il connaissait déjà l'issu du combat. Tout en relevant la tête, elle remarqua un homme assez grand, poster de dos à une cheminé.

-Alors c'est lui qui mène le jeu, souffla-t-elle.

Elle regarda petit à petit ses chasseurs avant de se lancer à nouveau vers eux, la rage emplissant son corps. Rage qui apparaissait chaque fois qu'elle se sentait en danger, chaque fois que l'un de ses amis étaient en danger, chaque fois qui pouvait la pousser à devenir une machine à tuer s'il le fallait. Elle esquiva les premiers coups tout en donnant à ses hommes, les coups les plus puissants qu'elle le pouvait. Elle commencait doucement à se sentir fléchir. Le combat devenait trop puissant pour elle. Elle ne put que se dire que ce n'était pas des molosses mais des machines infatiguables et sans grand interêt pour la race humaine. Se sentant en danger, Tess n'eu que la force de prendre la chaine qui pendait à son pantalon avant de l'enrouler autour de son poignet. Elle savait qu'au moins, avec cet chaîne, les coups feraient bien plus mal que ces petits poings qui semblait sans grand impact sur ce qu'elle appellait si bien, les molosses. Avant de se jeter une nouvelle fois sur les "molosses", elle pensa à tout ses camarades qui l'avait entourée durant ces dernières années pour se donner plus de courage face à ses hommes. Son sourire devint carnassier, quasiment à la limite du terrifiant. Mais au fond, tout ce qu'elle espérait, c'est que la bataille cesse, par n'importe quel moyen mais ele ne pouvait le montrer. Elle prit d'assaut le premier homme qui arriva vers elle, elle ne réfléchit pas et courru jusqu'a lui avant de sauter et de lui assèner un coup de son poing droit qui sembla quelque peu avoir sonner l'homme. Mais ce dont elle n'avait pas pensée, c'est qu'un aurait eu le temps de la prendre par derrière pour l'éjecter contre un mur. Tess eu le souffle coupée quand elle percuta le mur. Ca lui devenait bien trop difficile. Elle, qui était assise après la rencontre avec le mur, se releva comme si elle ne ressentait aucune douleur alors qu'au fond, la douleur lui tiraillait de partout. Elle repartit à la charge mais s'arrêta voyant qu'aucun ne réagissait. Elle se posa plusieurs questions avant d'entendre la voix d'un homme. Elle se tourna vers celle-ci et regarda l'homme qui avait prononcer ses paroles. Bien plus grand qu'elle, rouquin, venant du monde bourgeois avec un sourire qu'elle n'appréciait pas du tout. Elle voyait dans le regard de l'homme qu'il ne la laisserait pas en vie si elle refusait sa proposition. Mais rien à faire, s'il fallait mourir pour ce qu'elle considérait comme sa famille, alors elle se jeterai d'un pont. Elle n'avait pas peur de ce qui l'attendait. D'un seul coup, Tess vit une chaine s'implanter dans le sol, créant ainsi une nouvelle brèche grâce à la lance qui en était le bout. Il espérait réellement lui faire peur avec ça? Il la repris sous son avant-bras. Tess avait eu le temps de voir approximativement la longueur de la chaîne et le poid qu'elle pouvait faire. C'était sûr, cette chaîne devait être assez lourde. Elle releva son regard vers cet homme, qui d'après elle, devait être un patron réputée. Elle sourit face à cet affront et le regarda d'un regard méprisant avant de cracher aux pieds de l'homme.

-Trouve toi quelqu'un d'autre pour satisfaire ton entreprise!

Elle savait qu'elle venait de signer un arrêt de mort. Mais bon, s'il fallait en arriver à ce point, elle se battrait jusqu'au bout. Elle vrilla ses yeux dans tout les sens pour regarder les hommes l'entourant.

-Mmmh...Parlons de toi! Dit-elle avec un regard qui vascillait entre les toits et le sol. Tu n'es qu'un lâche mon gars! Sérieusement, faut te faire soigner. Tu espéres qu'on t'obéira parce que s'il t'arrive quelque chose, tes hommes ne se gêneront pas pour tuer. As-tu, au moins une fois dans ta vie, battu loyalement, sans tes hommes pour te couvrir, L-I-A-M?

Elle décrocha chaque lettre de son nom. Il n'était pas inconnu dans la ville basse. Il venait, se servait et repartait avec ce qu'il voulait. Tess méprisait cet homme au plus haut point. Il était ignoble envers la ville basse et chaque fois qu'il revenait, il arborait un sourire qu'elle n'aimait pas. Elle l'avait déjà vu a l'oeuvre mais n'avait jamais eu le temps de sauver la personne qu'il essayait de posséder. Par la haine qu'elle épprouvait envers Liam, elle serra plus durement sa chaîne. Elle voulait prendre ses armes et lui tirer dessus. Mais ça aurait été sa fin. Et puis, elle voulait un peu s'amuser avec lui, vois s'il était si térrifiant qu'il ouvait le prétendre.

Messages : 52 Date d'inscription : 10/05/2010

En restant accoté, le directeur s’amusait visiblement de tout ce qu’il voyait et encore plus quand elle refuse son offre. S’était ce qu’il espérait, la voir refuser et se débattre contre un destin certain. Il était confiant et sûr de lui, plus qu’il n’aurait dû surement, mais il le réalisait. Certains de ses hommes rient quand la jeune fille décline l’offre. Ils savaient que si leur boss la laissait en vie, l’un d’eux allait l’avoir pour la première nuit.
Liam crut voir un court instant de la résignation en elle, mais à l’arrogance qu’il entend, il suppose qu’il a mal vu. Elle veut ensuite parler de Liam, chose que le vantard et narcissique aristocrate n’a aucune objection. Il l’était tellement qu’il ne donnait du crédit et de l’importance qu’à ses propres paroles, rendant difficile de le blesser verbalement.

Dans un rire soutenu un moment, il n’a pas tenu jusqu’à la fin du discourt. Il se moquait ouvertement de l’idée de se battre à la loyale. De là où il vient, la loyauté n’amenait que de déclin, la pauvreté et la faiblesse. Il s’arrête peu après qu’elle a prononcé chaque lettre de son nom.

"Et bien, me voilà troublé… une vermine qui sait épeler mon nom. Félicitation !"

Retirant son arme, il l’accote sur son épaule et à l’intérieur de son coude. On pouvait voir que malgré le poids de la chaine et de l’arme, le tout était très bien balancé. "Allez, cesse de parler et montre-moi pourquoi une femme est dans votre groupe de bâtard."Soudain, ses éclaireurs reviennent avec l’homme qui avait tenté de s’enfuir. L’insecte avait été battu et sa cheville droite était de la même couleur que le ciel nocturne. Voir cet homme lui rappelle un point intéressant de la nature humaine.

Après avoir fait signe à ses gardes d’amener l’homme, son regard revient sur le cas de la femme. Il l’observe avec l’amusement du traqueur. D’une voix luxuriante d’intonation où le sadisme dansait avec l’autorité, il la regarde dans les yeux. "Amuse-moi avant de mourir et je n’irais pas tuer tes compagnons ce soir." Rien n’empêchait Liam de partir, une fois la jeune femme tuée, pour s’occuper de d'autres dans la basse ville. Pourtant, même s’il n’était pas loyal aux autres, il se pouvait qu’une petite rumeur soit connue, même ici. Celle qui disait que le directeur du Slave respectait toujours sa parole.

S’il ignorait qu’elle était celle qui s’occupait de la garde dans la basse ville, il ne doutait cependant pas qu’il trouverait bien d’autres personnes pour s’amuser ce soir. Après tout, ces êtres inférieurs lui servaient à se distraire lorsque les bals et les putes n’y arrivaient plus. Leur utilité se résumait à leur fuite.

"Hum… tu es courageuse et tu te bats avec le cœur au ventre… à qui penses-tu quand tu croises la mort ? La meute… ta famille de sang peut-être ? Penses-tu être capable sans eux ?"

Il se prenait pour un psychologue amateur ? Selon ses constatations on devinait que oui, mais travaillant dans un domaine « public » il devait être apte è reconnaitre des signes non verbaux. En la regardant de bas en haut, tel l’enfant qui évalue son nouveau jouet pour savoir comment le briser et aller plus tard s’en chercher un nouveau, il reprend la parole, peu importe si la jeune femme avait recommencé à parler. D’entre eux deux, il parlait sans doute avec le plus d’assurance, selon lui et la petite dizaine d’hommes près à tuer la jeune femme d’un coup de feu.

"Laisse-toi faire, nous avons tous les deux envie de mettre l’autre à terre… Jeff, va vérifier que la miss n’a aucun poison ou autre connerie sur elle… miss, ne bougez pas."

Liam avait utilisé le vouvoiement avec sarcasme, rien ne montrait qu’il aurait pu avoir un quelconque respect pour une femme qui tentait de vivre en protégeant les siens.
L’un des hommes du Slave sortait alors des rangs, se dirigeant vers la demoiselle. Il n’y avait pas de crainte, car même s’il n’était pas un chasseur expérimenté comme ses paires, il n’était pas un enfant de cœur non plus. Pour lui, si elle se débâtait, ils la tueraient et passeraient dans la zone de la meute pour se trouver une nouvelle proie qui plairait à leur patron. Si elle se laissait faire, il retirait toute arme à feu , poison ou autre produit toxique, ne lui laissant que ses armes blanches.